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Le pouvoir au féminin

J’ai vu le jour en 1956 au sein d’une famille canadienne traditionnelle de classe moyenne, avec deux sœurs et un frère aînés dans une maison en banlieue. Six ans me séparaient de l’enfant le plus jeune de ma famille. Mon père était un homme d’affaires prospère et ma mère était une « femme au foyer », bien que je sois conscient que l’on ne désigne plus ainsi les femmes (ou les hommes) qui restent à la maison pour élever leur famille de nos jours. À l’époque toutefois, c’est bien ainsi que l’on appelait ce rôle.

Enfant, j’allais à l’usine avec mon père les week-ends et pendant les vacances scolaires. Mon père était associé dans une entreprise de location d’équipement de construction du nom de Ray-Gordon Equipment et, en tant que petit garçon, c’était un endroit magique pour moi, rempli d’odeurs mystérieuses et de machines puissantes.

En grandissant, j’ai appris ce que faisaient toutes les machines et comment les faire fonctionner. On m’a appris à effectuer des travaux mécaniques de base sur les équipements et les camions. On m’a confié des tâches qui m’ont exposé aux opérations commerciales, à la vente et au service à la clientèle. J’ai compris comment tous ces éléments étaient reliés et essentiels à la gestion d’une entreprise prospère.

J’étais un garçon dans un monde d’hommes, et cela me plaisait énormément!

Les seules femmes dans l’entreprise étaient chargées de tâches de secrétariat ou de travail administratif. Il n’y avait aucune femme parmi les camionneurs, les coordonnateurs de chantier, les mécaniciens, les coordonnateurs de location, les vendeurs ou le personnel du service à la clientèle. Si mes sœurs se voyaient à l’occasion offrir un emploi à temps partiel dans l’entreprise, c’était assurément au bureau, pour classer les dossiers ou répondre aux appels – nous avions notre propre commutateur téléphonique! Faites une recherche dans Google!

Quel dommage. Les femmes n’occupaient pas de postes d’exploitation, de vente ou de gestion dans les entreprises d’équipement de construction. C’étaient les hommes qui occupaient de tels emplois.

Aujourd’hui, les choses ont bien changé. Ma belle-fille est la fondatrice et la directrice générale d’une entreprise de tutorat très prospère, présente au Canada et aux États-Unis. Mon autre belle-fille est vice-présidente d’une grande entreprise de marketing d’envergure mondiale. Je suis très fier d’avoir ces femmes d’influence dans ma vie.

D’innombrables études ont démontré que les entreprises comptant un plus grand nombre de femmes aux postes de direction connaissent un meilleur rendement. La culture d’entreprise est plus inclusive et collaborative, et les clients de ces entreprises sont plus satisfaits.

C’est pourquoi je suis si optimiste et enthousiaste quant à l’avenir de notre entreprise et de notre secteur. S’il est vrai que notre secteur accuse un certain retard par rapport à d’autres en ce qui concerne l’emploi de femmes à des postes de direction, cela représente en revanche l’occasion parfaite d’améliorer nos entreprises.

Le recrutement, l’embauche, la formation, le mentorat et le parrainage d’un plus grand nombre de femmes rendront nos entreprises plus performantes, et je suis personnellement à la tête de cette initiative chez Location Équipements Cooper. Non pas parce que c’est la chose politiquement correcte à faire, mais bien parce que c’est essentiel au rendement supérieur à long terme de notre entreprise.

Femmes de Cooper, je me réjouis de toutes les merveilleuses choses qui vous attendent, vous et toutes celles qui vous succéderont.

Les possibilités sont infinies.

Doug Dougherty
Chef de la direction

(Traduction du texte original)

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